La Lettre du 09 JuilletLa Lettre de Gildas...Mercredi 09 Juillet 2008 NOMBRE DE SORTIES AU GROS : 50 NOMBRE DE SAILFISH PECHES : 113 NOMBRE DE SAILFISH RELACHES : 88
Mais côté vitesse pure dans l’eau, nous – pauvres humains –sommes largement battus par les animaux, et de très loin ! Cela peut nous amener à nous poser la question : Quel est l’animal le plus rapide sous l’eau… (Sans combinaison hi-tech) ? C’est un poisson mythique qui est le champion de la vitesse : l’espadon voilier s’impose en effet très nettement, avec une vitesse hallucinante voisine du guépard, d’environ 110 Km/heure. Forcément plus rapide que tout le monde, rien ne lui résiste. Les autres poissons « rament » pour le suivre, et c’est peu dire : le dauphin et le requin se déplacent aux environs de 70 Km/h, avec un léger avantage aux dauphins. Hugues et Olivier de MONTMEGE, Bruno CHARBONIER, trois espèces rares…. qui se déplacent relativement moins vite que ces poissons là au moment d’embarquer le matin, parviennent tout de même à relâcher 03 espadons voilier le 04 juillet 2008 à bord du « Diabar ». Par contre, ces mêmes personnes, prennent de la vitesse lorsqu’il s’agit de rentrer sur les coups de 15 heures…,pour un massage bien mérité à l’Institut de l’hôtel Espadon... L’éternel Constant GUIGO, accompagnés de Gérard GATTEGNO et Dominique BOIS - alternent le bon et le moins bon au ferrage mais parviennent tout de même à relâcher deux poissons sur trois le même jour sur le « Gaïndé ». Les fidèles Yvon GIRARD et son fils Sébastien, relâchent 05 espadons voilier sur 07 de pêchés en trois sorties. Carton plein pour les habitués Dominique GRANDVOINET, Jacques SALAMITO et Claude NAGET qui relâchent 08 sailfish sur 08 de pêchés le jeudi 10 juillet à bord du « Black Jack ». 05 sorties : 25 sailfish, 23 relâchés !!!! Propre, net et... sur un moteur le 10/07…..Obligé de leur donner un handicap……A l’année prochaine …sur deux moteurs ! Beaucoup d’espadons voilier naviguent dans les 13/17 nautiques de Saly. Nous en sommes à ce jour à 125 sailfish pour 98 relâchés. Gildas RICHARDEAU |